Montréal, 17 décembre 2018 — Selon un sondage réalisé par L’Observateur pour le Conseil québécois du commerce de détail (CQCD), la popularité des ventes de l’Après-Noël atteint un sommet depuis 2015. En effet, près de deux Québécois sur cinq, soit 38 %, affirment qu’ils y prendront part. Après une légère diminution en 2017 avec une participation de 27 %, un regain se fait sentir avec une hausse de 11 % par rapport à l’année dernière.
Si les Québécois prévoient davantage y participer, ils dépenseront toutefois moins que l’année dernière. En effet, la dépense personnelle moyenne se situe cette année à 279 $ par personne, soit 17 $ de moins qu’en 2017.
Que se procureront les Québécois ?
La dépense principale à l’occasion des ventes de l’Après-Noël se concentrera sur les vêtements et accessoires mode, alors que deux Québécois sur cinq s’en procureront. Près du tiers prévoient se prémunir d’articles électroniques, un gain de 6 % par rapport à l’année dernière.
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Finalement, 28 % des Québécois feront leurs emplettes en ligne à l’occasion de ces ventes. Cette tendance est, somme toute, similaire aux années précédentes (31 % en 2017 et 29 % en 2016).
« Dans le cadre de sondages portant sur les grandes ventes, tels que celui du Vendredi fou ou de l’Après-Noël, il est intéressant de constater l’évolution de l’engouement des consommateurs année après année. Alors que l’on observait une perte d’intérêt pour les ventes de l’Après-Noël dans les dernières années, le regain de 2018 confirme que celles-ci ont toujours une pertinence aux yeux des consommateurs », explique Jacques Pelletier, président du conseil et chef de la direction de L’Observateur.
Méthodologie
Au total, 1 092 personnes ont rempli le questionnaire de L’Observateur entre le 3 et le 10 décembre 2018. Les données ont été pondérées selon le genre pour refléter la démographie. La marge d’erreur est de 3,1 %, 19 fois sur 20.
À propos du Conseil québécois du commerce de détail
Le CQCD est une association représentant la grande majorité des entreprises du commerce de détail et de la distribution au Québec, ce qui en fait un interlocuteur incontournable. Dans le dossier du commerce en ligne transfrontalier comme dans tous les autres, le CQCD se positionne en « mode solutions », afin de contribuer aux réflexions, aux stratégies et aux décisions des gouvernements.
Source :
Conseil québécois du commerce de détail
Renseignements :
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